VENDREDI 24 NOVEMBRE

SOIGNIESESPACE CULTUREL VICTOR JARA

OPEN DOORS 18H30

Venez passer une soirée 100% rock

pour finir la semaine 100% chill !

THE BADGERS

Quand la lune belge était froide, 5 âmes perdues moitié humaine moitié animale se réunirent pour former « The badgers ». Puisqu’il est plus facile de faire danser ses démon la nuit et qu’il fallait incarner l’ombre dans la lumière : les amis s’enivrèrent dans une course folle au plaisir musical. Le résultat est bestial, primitif, compulsif !

GIAC TAYLOR

« Giac Taylor est le projet solo de Panarisi Giacomo aka Romano Nervoso.
Tout commence en janvier 2021, quand « il signore » Panarisi décide de profiter du « lockdown » et de la crise sanitaire pour s’isoler en studio en compagnie de son acolyte-ingénieur du son Moorad Agjij afin de créer le projet qu’il a toujours eu envie de réaliser… enregistrer un album solo en moins d’une semaine. Le concept est simple : se lever le matin pour écrire des titres qui ensuite seront enregistrés en soirée, le tout bouclé en 7 jours, d’où le nom du projet « One Week/One Record presents Giac TAYLOR ».
De cette expérience, quarte albums ont vu le jour, « First Of All … Fuck You » (Janvier 2021), « Jesus Loves You But I Don’t » (Mars 2021), « Dead Man Shoes » (Juin 2021) et « The Last Sicilian Standing » (Décembre 2021), ce dernier a été enregistré en moins de 24h.
Sur scène, Giac Taylor est accompagné d’amis musiciens expérimentés et son premier concert a eu lieu en mars 2022. Depuis, le groupe a joué plus de 50 concerts à travers l’Europe (Allemagne, Pays-Bas, France, …) en compagnie de gourpes tels que Danko Jones, Triggerfinger, Nashville Pussy, Earth, Lords of Altamont, the Murlocks…
La sortie de ses albums est prévue pour juin mars 2023.
Pour faire court, « Covid-19 created a rock’n roll monster and his name is Giac TAYLOR »

TAGADA JONES

Déjà plus de 20 ans que Tagada Jones parcoure les scènes nationales et internationales avec son Punk-Hardcore. Le groupe a traversé 25 pays, produit 9 albums studio et brûlé les planches à plus de 1800 reprises ! Sans doute l’un des seuls combos Punk français à autant s’exporter en chantant dans sa langue natale.
Tagada c’est aussi une conscience sociale, un engagement politique et surtout une référence en termes d’indépendance. Dignes héritiers de la scène alternative française, ils sont reconnus par leurs prédécesseurs (Bérurier Noir, Parabellum, Shériff…) comme étant l’incarnation du « Do it yourself » français. 
Si le combo a démarré sa carrière il y a un peu plus de vingt ans sous la forme d’un quatuor 100 % punk-rock, sa musique a connu quelques changements et notamment une orientation plus electro-punk durant quelques années avec l’arrivée d’un cinquième membre aux samples. Aujourd’hui le groupe est revenu à ses premiers amours et continue de composer une musique punk fidèle à ses racines, même si l’aspect électro-indus n’a pas totalement disparu. Le groupe couvre plus que jamais un spectre musical allant du punk anglais, des origines à sa version californienne des années 90, en passant par l’alternatif hexagonal des années 80 ou encore le métal et le hardcore. Des influences qui ont été parfaitement digérées pour aboutir finalement à une musique qui ne ressemble à rien d’autre qu’à du Tagada Jones ! 
Si la musique a évolué, elle reste immédiatement reconnaissable, notamment grâce à la voix de Niko, à son chant enragé et à ses textes militants. Des textes qui ont d’ailleurs connu eux aussi une certaine évolution mais qui restent très largement axés sur les problèmes sociétaux tel que le capitalisme, la mondialisation, l’oppression, les guerres, le racisme, l’écologie, la politique, les religions, les violences conjugales ou la liberté au sens large du terme.… Les thèmes restent graves, la vision terriblement lucide, et l’ensemble brosse un portrait plutôt sombre mais réaliste de la société actuelle.
Trouvant le parfait équilibre entre conscience sociopolitique affûtée et virulence sonore, porté par des refrains fédérateurs, des guitares mordantes et des cœurs surpuissants, Tagada Jones s’impose en fer de lance de la scène punk-hardcore française.
Toujours plus violent, plus revendicateur, plus pertinent et plus incisif : tel est le visage de Tagada Jones en 2017. Gonflé à bloc et armé d’un nouvel opus « La Peste et le Cholera » le groupe s’apprête à reprendre les routes pour dispenser à travers le monde sa saine et franche énergie rock’n’roll, propre à faire transpirer n’importe quel amateur de décibel lors de concerts mémorables, où le quatuor révèle toute la mesure de sa ferveur et de sa générosité.
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